Après des années de signaux d’alerte lancés par les collectivités locales, l’appareil juridique de la lutte contre la lutte l’habitat indigne s’améliore doucement. Dernière étape en date, la loi ALUR du 24 mars 2014 est venue toiletter certaines procédures, créer le « permis de louer » ou des procédures adaptées pour le traitement des copropriétés dégradées. La lutte contre les marchands de sommeil progresse doucement, comme le notait en 2015 Sylvain Mathieu, le délégué interministériel à l’hébergement et à l’accès au logement, lors d’un colloque organisé sur le sujet.
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La lutte contre l’habitat indigne progresse, doucement
Mais sur le terrain, les communes particulièrement touchées continuent à voir se développer cette exploitation de la misère, appelée à perdurer avec l’afflux de migrants réfugiés politiques ou climatiques. Elles peinent toujours à voir les procédures contentieuses aller jusqu’au ...
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