Dans le panier des transferts de compétence annoncés pour l’acte III de la décentralisation, le droit au logement opposable (Dalo ) fait figure de mistigri. Que diable iraient faire les autorités locales dans cette galère ?
En réalité, loin d’être un épouvantail, le Dalo semble être une responsabilité que la puissance publique locale et, plus particulièrement, les communautés devraient réclamer car elles ont beaucoup d’avantages à en retirer.
Les bénéficiaires, souvent victimes du ballottement entre les différentes bureaucraties, trouveraient évidemment un intérêt à n’avoir qu’un interlocuteur unique.
Les habitants et électeurs du territoire intercommunal jugeraient aberrant qu’une nouvelle strate de pouvoir administratif se désintéresse d’un problème dont la réponse est ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteDomaines juridiques