La possibilité du retour à la semaine de quatre jours pour les élèves de maternelle et de primaire a été largement utilisée par les communes. En avez-vous été étonné ?
D’abord, il est important de rappeler que rien n’a été imposé : c’est une liberté qui a été offerte, et les maires le savent bien. Ce qui m’a paru primordial dès le début était de reconnaître que les réalités de terrain étaient différentes d’un endroit à l’autre, et qu’il fallait laisser aux communautés éducatives parents, professeurs, commune, en lien avec l’Education nationale le soin de décider. D’autant plus que la situation que j’ai trouvée était très inégale : seulement 40 % des élèves de France prenaient part aux activités périscolaires, et il y avait une hétérogénéité des rythmes puisque 20 % des communes avaient ...
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