«Ne cherchez pas, depuis le changement de municipalité, je m’occupe seule de l’accueil et du standard d’une ville de 30 000 habitants car deux de mes collègues sont en arrêt depuis deux ans. Je n’ai vraiment pas l’impression d’être défendue. C’est simple, ma responsable de service vient très rarement me voir ! » A deux ans de la retraite, Marie-Louise, agente d’accueil dans le Val-de-Marne, a un peu l’impression de faire partie des meubles.
Dans le même département, les Atsem de Choisy-le-Roi ont, elles, réussi à se fédérer pour faire entendre leur besoin de reconnaissance. « Depuis quelque temps, une mobilité interne leur était imposée et surtout utilisée comme un outil de management. Cela consistait à déplacer une Atsem d’une école à une autre, souvent sans son consentement », explique ...
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Gazette des Communes
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