A l’occasion de la journée de lutte contre le sans-abrisme, le 10 octobre, les villes de Strasbourg, Rennes, Bordeaux, Paris, Grenoble et Lyon écrivaient à leurs préfets. Leurs maires annonçaient, dans une tribune publiée dans Libération, être « les premières villes à déposer des recours pour que l’Etat assume enfin ses obligations en matière de prise en charge des personnes contraintes à dormir dans la rue. »
Des actions symboliques…
Pour suppléer le manque de places en centres d’hébergement, les villes ouvrent des places dans des gymnases, des écoles ou autre structures, elles financent des nuitées hôtelières, offrant un toit aux sans-abris. Ces actions ont un coût – 900 000 euros à Strasbourg entre septembre 2022 et mars 2023, 4 millions d’euros dans la ville et la métropole de ...
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