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Qualité de vie au travail

La santé menstruelle des agentes enfin prise en compte

Publié le 27/06/2023 • Par Gaëlle Ginibrière • dans : Actu Emploi, Toute l'actu RH

Instaurer un congé menstruel ou aménager le travail des femmes souffrant de règles incapacitantes sont les expérimentations que des collectivités ont lancées ou s’apprêtent à mener. Des propositions de loi ont aussi été déposées au Sénat et à l’Assemblée nationale.

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L’annonce de la commune de Saint-Ouen-sur-Seine, le 8 mars, d’expérimenter des aménagements d’horaires et de postes ou des ASA pouvant aller jusqu’à deux jours par mois en cas de règles incapacitantes liées à une pathologie associée a fait des émules. La ville de ­Bagnolet (1 250 agents, 38 500 hab., Seine-Saint-Denis) lui a immédiatement emboîté le pas, suivie de Plaine commune (9 communes, 2 200 agents, 440 100 hab., Seine-Saint-Denis) ou de ­l’eurométropole de ­Strasbourg (33 communes, 6 800 agents, 505 300 hab.).

IVG, fausses couches…

« L’ensemble de ces expérimentations permettra d’évaluer comment mettre en place un congé menstruel, d’en déterminer les limites pour ensuite faire aboutir une proposition de loi », expose ­Sofia ­Boutrih, conseillère territoriale de ­Plaine commune. De ...

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La santé menstruelle des agentes enfin prise en compte

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SoyonsOptimistes

30/06/2023 04h13

Bonjour, si problème de santé il y a, cela doit faire l’objet d’un arrêt de travail avec application du jour de carence, point. D’autant plus qu’il ne s’agit pas en l’occurrence de maladie professionnelle. Pourquoi un ou une agent qui a des problèmes de dos récurrents par ex, ou toute autre pathologie qui l’oblige à devoir se mettre en arrêt régulièrement, devrait se voir appliquer le cadre commun, tandis qu’une collègue pourrait ne pas être à son poste sur simple demande et sans jour de carence pour « règles douloureuses » ? On n’est plus dans l’égalité mais clairement dans la différence de droits…
En outre, dans les services très féminisés et déjà en forte tension, tels que le médico-social, ce ne serait pas sans conséquence en termes de continuité de service. Et n’allez pas parler de télétravail à des aides-soignantes !
Pour en avoir discuté avec d’autres femmes, ce type de mesure est loin de faire l’unanimité… car bien souvent l’absence d’une est comblée par les autres. La sororité a des limites !
C’est l’exemple type de la fausse bonne idée, et qui risque de se retourner vite contre les élus car créatrice de tensions (il suffit de voir les résultats des élections en Espagne, Finlande… en partie à cause de débats sociétaux très clivants et d’une victimisation par trop systématique). Des assos, des syndicats, des professionnels de santé, sont d’ailleurs aussi réticents.
La prise en charge médicale – quand pathologie il y a – doit être la même pour tout le monde (arrêt de travail par un médecin avec application du jour de carence dans la FP), et les employeurs se doivent de respecter ce cadre. C’est ça l’égalité ! Et non pas donner des droits à certains (à certaines en l’espèce), et pas aux autres.

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