L’annonce de la commune de Saint-Ouen-sur-Seine, le 8 mars, d’expérimenter des aménagements d’horaires et de postes ou des ASA pouvant aller jusqu’à deux jours par mois en cas de règles incapacitantes liées à une pathologie associée a fait des émules. La ville de Bagnolet (1 250 agents, 38 500 hab., Seine-Saint-Denis) lui a immédiatement emboîté le pas, suivie de Plaine commune (9 communes, 2 200 agents, 440 100 hab., Seine-Saint-Denis) ou de l’eurométropole de Strasbourg (33 communes, 6 800 agents, 505 300 hab.).
IVG, fausses couches…
« L’ensemble de ces expérimentations permettra d’évaluer comment mettre en place un congé menstruel, d’en déterminer les limites pour ensuite faire aboutir une proposition de loi », expose Sofia Boutrih, conseillère territoriale de Plaine commune. De ...
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Gazette des Communes
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