Il n’y a pas eu de chasse aux sorcières, selon plusieurs témoins. Un peu plus d’un an après les élections qui ont vu un écologiste, Pierre Hurmic, devenir maire de Bordeaux et le maire socialiste de Mérignac, Alain Anziani, accéder au poste de président de Bordeaux Métropole en lieu et place de l’éphémère successeur d’Alain Juppé, Nicolas Florian (LR), le principal effet en matière d’organigramme aura été la fin de la fusion des postes de directeur général des services (DGS) des deux collectivités.
« Le maire de Bordeaux a considéré que, compte tenu de l’ampleur des transformations, il avait besoin d’un collaborateur à temps plein sur les questions municipales, mais cela n’a pas entrainé de vague de démutualisation », insiste François Corbier, DGS à la ville de Bordeaux depuis ...
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Gazette des Communes
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