Les grévistes dénoncent notamment la fin du Plan Grand froid, prévu le 30 mars et la fermeture de facto des centres ouverts pour la période hivernale.
«A Lyon, plus de 500 personnes faisant appel quotidiennement au 115 n’auront d’autres solutions que de dormir dehors. Nous voulons des centres pérennes. Aujourd’hui, nous travaillons dans des conditions qui sont contraires à la loi : celle-ci prévoit la non remise à la rue des personnes en vertu de l’article 73 de la loi de mobilisation pour le logement et de lutte contre les exclusions », souligne l’un des porte-parole du mouvement à Lyon Baptiste Ménéghin.
A Lille, ce sont plus de 300 personnes qui n’auront plus d’hébergement fin mars.
Elles devraient être entre 60 et 90 à Toulouse.
A Paris, 1.000 places seront fermées.
[60% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profite