Les élèves d’une douzaine d’écoles, sur les cinquante que compte la ville de Rennes (212494 hab., Ille-et-Vilaine), doivent se contenter depuis début juin de repas froids. La faute aux débrayages quotidiens de 59 minutes observés par une soixantaine des 260 agents d’entretien et correspondants de restauration municipaux. Le conflit qui, au plus fort, a perturbé près d’une vingtaine d’établissements se cristallise autour de la pause repas de 30 minutes : la CGT réclame son paiement intégral au motif que le personnel est régulièrement dérangé durant le déjeuner. Une autre revendication concerne le temps de travail statutaire : le syndicat réclame des postes à 18/20e « au minimum » pour tous les salariés qui le souhaitent. Malgré les ...
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