C’est un véritable tollé que le groupe public d’armement terrestre, Giat Industries, a soulevé lundi 7 avril en annonçant le licenciement de 3750 de ses 6250 salariés et trois fermetures de sites en trois ans. Le même jour, les députés et maires des villes concernées ont été reçu à Matignon. Ce qui n’a pas pour autant calmé leur colère. « Inacceptable », « dramatique », un « gâchis financier et humain » : pour les élus, ce plan doit être compensé par des mesures gouvernementales. Gérard Trémège, le maire de Tarbes a ainsi réclamé la création d’une zone franche sur le site de Giat. En Loire, le premier vice-président du conseil général, Bernard Fournier, a annoncé qu’il « sollicitera ...
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