Les carences éducatives constituent le principal facteur de danger selon l’enquête annuelle de l’Odas qui plaide pour développer le soutien à la parentalité.
Une dizaine de jours après la mort de deux enfants strasbourgeois de 13 mois et 4 ans, victimes de maltraitances familiales, et la déclaration de Christian Jacob, ministre délégué à la Famille, qualifiant la maltraitance de « fléau national », la dernière enquête annuelle sur l’enfance en danger de l’Observatoire national de l’action sociale décentralisée (Odas), publiée le 15 octobre, apparaît quelque peu rassurante. Le nombre de signalements s’est en effet stabilisé en 2002 (86 000 contre 85 500 en 2001), selon l’étude de l’Odas qui porte sur l’ensemble des ...
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