Saisi le 19 juin par le syndicat Sud-Education d’une demande de suspension du décret concernant la réforme des rythmes scolaires, le juge des référés du Conseil d’Etat a rejeté ce recours le 19 juillet.
Le syndicat enseignant arguait que l’absence de saisine du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) jetait un « doute sérieux sur la légalité du décret ». Il estimait que ce dernier modifiait d’une manière importante les rythmes de travail des enseignants en raison d’une demi-journée de travail supplémentaire.
Le Conseil d’Etat n’a pas suivi cette argumentation. L’instance estime que la présentation du texte du décret au CHSCT n’était pas obligatoire, puisqu’il avait déjà été présenté au comité technique.
Il revenait à ce dernier, selon le ...
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