L’Union nationale interfédérale des oeuvres et organismes privés sanitaires et sociaux (Uniopss) a déclaré, le 26 juin, craindre que les travailleurs pauvres ne soient les laissés-pour-compte du revenu de solidarité active (RSA). Ce dernier, inscrit dans l’avant-projet de loi « en faveur du travail, de l’emploi et du pouvoir d’achat » présenté en conseil des ministres le 20 juin, est censé à assurer aux bénéficiaires de minima sociaux, RMI et API (allocation parent isolé) notamment, un revenu supplémentaire s’ils reprennent un travail. Mais ce texte ne mentionne pas les minima sociaux pour les handicapés, les chômeurs en fin de droit ou les « travailleurs pauvres ».
« Dans l’avant-projet de loi, les ...
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