«A la suite du décès d’un collégien, fin 2006, nous avons constaté une dégradation de la situation dans les établissements des zones urbaines sensibles de Meaux (Seine-et-Marne). On comptait 56 exclusions définitives en 2006-2007, soit 2 % des élèves. En établissant un diagnostic, nous nous sommes aperçus que 45 % de ces collégiens étaient déjà connus des services de police, du conseil général ou de la protection judiciaire de la jeunesse pour des délits », retrace Azedine Issad, responsable du contrat opérationnel de prévention et de sécurité (Cops) et du dispositif.
Réorienter les élèves
La ville s’est donc appuyée sur son conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD) pour lancer un plan global de prévention, dont l’une des mesures est le ...
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