En créant une police intercommunale, les trois villes partenaires poursuivaient chacune un but différent : Saint-Julien-les-Villas cherchait à étendre les horaires de sa police municipale, Saint-Parres-aux-Tertres désirait étoffer ses effectifs (un seul agent), tandis que Rosières-près-Troyes voulait tout simplement créer ce service.
Douze heures de présence
Des objectifs différents, donc, mais une convergence d’intérêts qui a abouti, le 18 mai 2009, à la signature de deux conventions. La première précise les modalités de mise en commun des agents et de leurs équipements en termes d’organisation et de financement. Un dispositif que la loi rend désormais possible(1). La seconde convention fixe les règles de coexistence avec la police nationale, de manière à coordonner les ...
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