Pendant deux ans, les agents des cantines scolaires et de la cuisine centrale de Nieppe ont formé à leurs métiers une apprentie ayant la trisomie 21. Un handicap complexe, qui mêle difficultés cognitives et relationnelles. « On nous a demandé notre avis avant de la recruter, se rappelle Sonia Hochart, responsable du restaurant scolaire de l’école Suzanne-Crapet. J’ai toute de suite été partante, je trouvais cela très bien. »
Toutes les équipes étant motivées, Elisabeth Rousseau, l’éducatrice spécialisée du service d’éducation spéciale et de soins à domicile de l’association Trisomie 21 France (Lille), qui accompagne la jeune fille, les a sensibilisées aux particularités de cette mission délicate.
Entraide
Agée de dix-sept ans lors de son recrutement, la jeune fille avait des ...
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