« Touche pas à mon école », « Non à la fermeture d’une classe » ou encore « Nos enfants ne sont pas des numéros » : chaque année, partout en France, en milieu rural comme urbain, des parents et des enseignants protestent contre des mesures qu’ils jugent iniques, parce qu’adoptées selon une logique comptable, sans considération pour le contexte local, estiment-ils.
Ce sujet ô combien sensible de la carte scolaire est le point phare du protocole d’accord conclu entre le gouvernement et l’AMF, présenté mardi 6 mai 2025 aux membres de la commission Education de l’AMF. Il avait été paraphé un mois plus tôt, en catimini, entre les deux parties. Côté Etat, par les ministres de l’Education nationale, Elisabeth Borne, et de la Jeunesse, Marie Barsacq.
Une volonté commune affichée
Ce ...
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