Adam Gregor - Fotolia
Après l’avis rendu par le HCSP refusant toute possibilité complémentaire de dérogation aux valeurs réglementaires existantes concernant la présence de pesticides et leurs métabolites dans les EDCH (eaux destinées à la consommation humaine), Nicolas Garnier, délégué général de l’association Amorce, pointe la gravité de la situation et la nécessité d’agir pour faire payer les pollueurs.
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Micropolluants, PFAS… Comme un poison dans l’eau
Que pensez-vous de l’avis rendu par le Haut Conseil de la Santé publique refusant de nouvelles dérogations sur les valeurs réglementaires de résidus de pesticides dans les EDCH ?
C’est un élément de contribution majeur à la Conférence de l’eau. Ses conclusions confortent et confirment le diagnostic posé par Amorce il y a un an et demi qui montrait qu’un tiers de nos collectivités locales considéraient qu’elles étaient ou allaient être impactées en 2023-2024 par un problème de valeur limite anormale sur un polluant, généralement un métabolite de pesticides voire un PFAS, et qu’elles réfléchissaient à soit ...