Sabine Klein - Fotolia
Suite à une étude récente, la régie de l’eau de Grenoble a découvert des risques de transferts de polluants dans la nappe phréatique qui alimente la métropole. En cause, les déversements d’effluents chimiques, autorisés d’un côté, mais interdits de l’autre... Un véritable imbroglio !
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Déjà mis en cause à Lyon dans la pollution aux perfluorés (PFAS), le même groupe Arkema est à nouveau dans le collimateur à Grenoble pour cause de déversements d’effluents pollués. Mais ces déversements ne sont pas interdits ! Le groupe a en effet obtenu des autorisations préfectorales pour déverser ses effluents pollués chimiquement dans la Romanche et le Drac. Et cela alors même que la nappe phréatique du Drac alimente les captages de Rochefort, principale ressource en eau de la métropole, protégés depuis 1967 par une déclaration d’utilité publique (DUP). « J’ai été informée de ces ...