Alors que Mayotte est plongée dans un désarroi humanitaire inédit depuis le passage du cyclone tropical Chido — l’île subissant coupures d’eau et d’électricité, destruction des logements, saturation des centres d’hébergement… —, les CCAS et les équipes municipales se coordonnent pour soutenir la population et assurer un minimum de stabilité face à la détresse.
Saïd Salim, membre de l’Unccas, adjoint au maire de Dzaoudzi-Labattoir et président de l’Union départementale des 17 CCAS de l’île, témoigne de la situation depuis vendredi 13 décembre, et attend encore l’aide humanitaire promise par l’Etat.
Un territoire à genoux, des dégâts considérables
« 100% des maisons en tôle sont détruites, et plus de la moitié des maisons en dur ont perdu leur ...
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