Dans le classement des équipements affectés par la hausse des coûts de l’énergie, les piscines sont tout en haut. Il y a même une forte probabilité que nombre d’entre elles ferment cet hiver. Partiellement pour la grande majorité (vacances de Noël, dimanches après-midi…), mais aussi complètement et pour plusieurs mois pour certaines (la presse locale se fait déjà l’écho de plusieurs décisions de municipalités allant dans ce sens).
Les plus touchées seront évidemment les plus vétustes : sur les 4 000 piscines recensées en France, 40 % ont été construites avant 1975. Seront aussi concernées celles toujours chauffées au gaz : « C’est le cas de 70 % des piscines », selon Stéphane Chatelet, président de l’Andiiss Bretagne et directeur de la piscine de la Conterie, à Chartres-de-Bretagne ...
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Les conséquences de la flambée des prix sur les collectivités
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Sommaire du dossier
- Hausse des prix et pénuries : les collectivités s’arrachent les cheveux
- Confrontés aux surcoûts, les acheteurs jouent les équilibristes
- Flambée des prix de l’énergie : même optimisés, les marchés publics ne peuvent servir d’amortisseur
- Marché de l’énergie : « La liberté de choix est une illusion »
- Filet de sécurité : l’acompte sera bien neutralisé
- Le blues des agents territoriaux face à l’inflation
- Inflation : les collectivités mettent la main à la poche pour aider les familles
- Pénurie d’essence : les agents des collectivités font appel au système D
- Plan de sobriété énergétique : ce qu’il faut retenir pour les collectivités
- Piscines : l’envolée des prix de l’énergie fait craindre le pire
Thèmes abordés