« Les colonies de vacances sont à l’image de ce qui se passe dans la société. Ce sont des lieux de vie qui ne sont pas exempts de violences sexuelles ou sexistes », admet Elisa Lang-Smerecki, responsable « pédagogie et recrutement, séjours enfants et adolescents », à l’UCPA. Le mouvement #MeTooAnimation, lancé en mars dernier par Anissa Maille, monitrice de colonie, a juste donné davantage de visibilité à ce phénomène, constitué de trois types de violences sexistes ou sexuelles – entre les adultes, entre les enfants et de l’adulte envers l’enfant.
Un garde-fou législatif
« Je voudrais quand même rassurer les familles car un cadre législatif existe depuis la loi du 17 juillet 2001, qui a instauré le contrôle de l’honorabilité des animateurs. Pour l’ensemble des séjours, nous déclarons la ...
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