Epuisement, manque de reconnaissance, souffrance au travail… Céline Lacroix, assistante sociale de secteur, et Céline Escoll, infirmière de la protection maternelle et infantile, à Angoulême, témoignent des dégâts provoqués par la crise sanitaire dans un secteur social et médico-social déjà mal en point.
Le premier confinement ? « C’était du bricolage, pas de matériel téléphonique, informatique, ni de protections, des collègues absents pour garder leurs enfants ou pour des raisons de santé, racontent-elles. On a utilisé notre téléphone personnel pour rester en lien avec les personnes suivies et on a continué à aller sur le terrain pour la protection de l’enfance. »
Selon Raphaël Bessis, psychologue clinicien au CIG Petite Couronne, chargé de la supervision et des analyses de la pratiqu ...
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