Quelles sont les raisons de la tristesse et de la colère ?
On ne peut être que triste qu’une jeune femme, maman de deux enfants, soit tuée dans l’exercice du service public. C’est un acte qu’il ne nous revient pas de qualifier, pénalement j’entends, mais qui est incompréhensible. On n’a pas l’habitude d’être en colère, mais il n’y a eu aucune réaction des médias ou du gouvernement ! Nous ne sommes pas là pour opposer les publics, mais on voit encore que les travailleurs sociaux, qui sont surtout des femmes, méritent rarement la même attention que les autres.
Ce sentiment rejoint la question de gestion de crise, notre colère face au peu de reconnaissance des deuxième ou troisième lignes, qui se sont occupées des plus vulnérables pendant la crise. On comprend l’impact sur les soignants, mais ...
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Gazette des Communes, Club Santé Social
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