A partir du 1er janvier, plus de 50% des 6,6 millions d’allocataires des aides personnelles au logement (APL) verront leur allocation évoluer. Elle ne sera plus établie en fonction des revenus de l’année N-2 (2018 pour la prestation délivrée en 2020), mais sera calculée tous les trois mois sur la base des revenus connus des douze derniers mois glissants. Selon Emmanuelle Wargon, cette réforme est « plus juste » et « permet de s’adapter à l’évolution de la situation des ménages. » Ce qui, dans le cadre de la crise sanitaire et sociale, pourrait conduire à « favoriser le pouvoir d’achat » et faire jouer la solidarité nationale.
Des économies sur le dos des pauvres
« La contemporanéisation des APL, rendue possible grâce, entre autre, au prélèvement à la source, n’est pas une mauvaise chose en ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés