Le vice-président du Haut conseil de l’éducation artistique et culturelle (HCEAC) Emmanuel Ethis a tenté, le 15 mai, de rassurer les députés devant l’ampleur du chantier à mener pour parvenir à l’objectif des 100% d’enfants concernés, fixé par l’Etat.
Pas de zones blanches
« En France, il n’y a pas de zones blanches, a lancé Emmanuel Ethis, mais plutôt des zones sur lesquelles travailler en se posant la question des problématiques égalitaires d’accès et du projet social que l’on construit ; l’inventaire des ressources culturelles que parfois l’on ne voit pas. Partout, on a des artistes et des ressources. Qui sont les artistes que nous souhaitons mettre en valeur ? ».
Une mise au point censée convaincre les députés qu’une bonne connaissance du terrain et des artistes de proximité ainsi qu’une bonne dose de volontarisme seraient la solution à toute épreuve pour l’application du plan du gouvernement sur l’éducation artistique et culturelle.
Huit mois après le « plan d’action » pour l’éducation artistique et culturelle (EAC), lancé par les ministères de l’Education et de la Culture, il s’agissait pour le vice-président du HCEAC de dresser un premier bilan devant la commission des affaires culturelles et de l’éducation.
Inégalités territoriales
Or, à plusieurs reprises, les élus l’ont interpellé sur
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