Dépôt d’une question prioritaire de constitutionnalité et rassemblement symbolique à Versailles : l’Union Française des associations tsiganes (UFAT) joue la carte de la citoyenneté au maximum.
Nous voulons être des acteurs de la démocratie ; aussi nous utilisons les moyens que nous donne la loi pour que tous les textes qui nous empêchent d’être des citoyens à part entière soient revus annonce Jean-Christophe Daumas, président de «Marianne Voyage», l’association membres de l’UFAT, cheville ouvrière des actions du 1er mars.
Les tsiganes tiennent à être les premiers justiciables à utiliser la réforme qui permet de poser des questions prioritaires de constitutionnalité. «L’article 9 de la loi du 5 juillet 2000 est contradictoire avec le principe constitutionnel de la liberté du choix de son ...
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