Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement
Club Santé Social

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

icon Club Santé Social

Logement

« Les postures électorales de rejet du logement social ne sont pas durables »

Publié le 29/07/2014 • Par Delphine Gerbeau • dans : A la une, Actu expert santé social, France

logements sociaux à Nancy
Flickr CC by sa Alexandre Prévot
Philippe Bry, président du Directoire du Groupe Logement Français, revient sur le partenariat incontournable des bailleurs sociaux avec les collectivités territoriales, encore plus important en période de crise immobilière.

Ma Gazette

Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée

Constatez-vous pour votre Groupe un blocage des chantiers pour les nouveaux logements ?

Oui, les retards sont traditionnels à l’approche des élections municipales. En revanche, le changement des équipes ayant été plus important, on relève diverses attitudes de la part des élus locaux : cela va d’une reprise en main légitime des dossiers avec un temps d’apprentissage raisonnable, jusqu’à des remises en cause réelles des projets. Il est encore trop tôt pour en tirer des conclusions, nous sommes en discussion sur certains dossiers. Mais il est vrai que 10 à 15% de nos opérations sont remises en question, pour des raisons diverses : l’équipe municipale se pose des questions, il existe des problèmes de financement ou des contentieux…

Pensez-vous qu’il y ait de la part de certains élus locaux un rejet par principe du logement social ?

Non, je reste très circonspect à ce sujet. On construit aujourd’hui du logement social sur tous les territoires. Les postures électorales ne sont pas durabl ...

[80% reste à lire]

Article réservé aux abonnés

Club Santé Social

Mot de passe oublié

VOUS N'êTES PAS ABONNé ?

Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours

J’en profite

Cet article est en relation avec le dossier

shadow
3 Réagir à cet article

Nos offres d'emploi

Plus de 1000 offres d'emploi !

TOUTES LES OFFRES D'EMPLOI
marche online

Aujourd'hui sur le Club Santé Social

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

« Les postures électorales de rejet du logement social ne sont pas durables »

Votre e-mail ne sera pas publié

Philippe LAURENT

30/07/2014 09h43

La question du foncier me semble incomplètement traitée. L’expérience sur le passé long montre en effet que des structures dédiées un temps au logement social, et ayant acquis pour ce faire des terrains en pleine propriété, peuvent se transformer en bailleurs classiques : l’exemple d’Icade, pourtant société publique filiale de la Caisse des dépôts, le dit assez clairement, et assez scandaleusement d’ailleurs. C’est pourquoi il n’existe à mon sens qu’une seule solution : la collectivité, seule porteuse de l’intérêt général, doit rester propriétaire exclusive du foncier et le louer à long terme aux bailleurs qui construisent. C’est ce que nous avons fait à Sceaux depuis plus de 30 ans, sécurisant ainsi une importante propriété foncière publique sans pour autant empêcher la construction, notamment de logements sociaux. Tant que cette pratique ne sera pas généralisée, nous prenons le risque d’enrichissement sans cause de certains acteurs sur le dos du logement social, ce d’autant plus que le modèle des opérateurs publics du logement (les OPH) a été mis à mal par les lobbies de diverses natures en transformant les EPA (OPHLM) en EPIC (OPH), qui sont lorgnés – avec l’active complicité du pouvoir central – par les ESH.

Patrice PATTEE

30/07/2014 12h44

Il y a toutefois des limites au raisonnement qui consiste à dire :

« C’est parfois compliqué à accepter pour les maires – qui autorisent ces cessions – encore plus avec le passage de 20 à 25% de logements sociaux obligatoires, mais nous leur expliquons qu’un logement vendu, c’est 3 à 4 nouveaux logements construits, c’est un argument de poids. »

C’est tout de même un processus qui conduit peut ou prou à la gentrification (et même plutôt prou)

Souaze Van de Poutre

03/08/2014 07h04

Très intéressant ! Qui sont les architectes qui ont fait les bâtiments de l’illustration ? C’est dommage que ce ne soit pas écrit….

Commenter

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur S.A.S, RCS Créteil 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Club Santé Social

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement