Après Valenciennes, Blois, Mulhouse et Bordeaux, la ville de Marseille se lance dans l’expérimentation d’un service d’aide aux victimes d’urgence (SAVU). Annoncé par Jean-Louis Borloo, ministre de la Ville, en mai 2002, le dispositif vise à délivrer une aide aux victimes d’actes graves de délinquance. Effective depuis le 10 mars, l’expérience marseillaise, portée par l’association « Aide victime actes délinquants » (AVAD), se déroulera sur 10 mois, en s’appuyant sur une équipe de 8 personnes constituée pour moitié de professionnels (psychologues, juristes ou travailleurs sociaux).
H.J.
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