Le rapport du CNLE remis au gouvernement mardi 4 septembre devait, à l’origine, faire des recommandations sur le calcul du « reste à vivre ». Or, vous faites des propositions qui dépassent largement votre sujet d’étude.
Peut-on dire que vous avez travaillé au rythme de l’urgence sociale ?
Plusieurs facteurs se sont télescopés et nous ont conduits à nous auto-saisir de la question des mesures à mettre en place pour lutter contre la pauvreté. Depuis plusieurs années, les associations du secteur nous font part d’une hausse de la demande d’aide sociale.
La publication de statistiques – selon l’Insee, 13,5 % de personnes vivaient, en 2009, en dessous du seuil de pauvreté (60 % du revenu médian), soit 8,2 millions de personnes ayant un niveau de vie inférieur à 954 euros par mois – ...
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