Même si l’heure n’est qu’aux déclarations d’intention, les candidatures fusent de toutes parts ! Dans la foulée de Paris, de nombreuses collectivités de province envisagent elles aussi d’afficher les anneaux olympiques. Non pas pour accueillir des épreuves, puisque, à l’exception du surf (lire l’encadré) et des disciplines telles l’escalade ou le BMX, les sites sont connus, que ce soit en Ile-de-France bien sûr ou à Marseille pour la voile.
L’enjeu porte sur l’accueil de délégations qui organiseront des stages de préparation pré-olympique, en France, à partir des deux ou trois années précédant les Jeux.
Une méthode à définir
Lors des JO de Londres en 2012, environ 600 équipements sportifs avaient été retenus comme potentiels camps de base. Dont quelques-uns dans l’ex-région Nord-Pas-de-Calais qui avait profité de sa proximité pour accueillir des compétiteurs. Avec le recul, Florence Bariseau, vice-présidente des Hauts-de-France chargée de la jeunesse et des sports, évoque « 6 millions d’euros de retombées économiques et du rayonnement médiatique ». Tout juste regrette-t-elle que le territoire « n’ait pas suffisamment joué la carte touristique ». Ce qui sera fait dans l’optique de Paris 2024.
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