« La France ne peut plus se reposer sur son seul patrimoine : ses châteaux, ses cathédrales, la côte méditerranéenne… La concurrence est rude avec l’Espagne, l’Italie, la Grande-Bretagne. Il faut réveiller la belle endormie », avertissait en juin, quelques jours avant la conclusion des Assises du tourisme, Fleur Pellerin, secrétaire d’État chargée de la promotion du Tourisme. Si la France est la première destination touristique au monde depuis des décennies devant les Etats-Unis – avec 83 millions de visiteurs accueillis en 2012 contre 67 millions aux Etats-Unis- elle n’est qu’au troisième rang des recettes derrière les Etats-Unis puis l’Espagne.
Face à la crise, le tourisme apparaît comme un levier de création d’emplois « immédiats et non délocalisables », indiquait le Quai d’Orsay, qui a la tutelle du tourisme. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 2012, ce secteur représentait 7,3% du PIB de la France et 2 millions d’emplois directs ou ...
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