Dans un communiqué diffusé la veille de l’ouverture du procès, l’Association nationale des assistants de service social (Anas), publie la lettre de « soutien professionnel » qu’elle a adressée aux travailleurs médicosociaux du conseil général de la Sarthe. Elle y rappelle « des éléments essentiels qui permettent de mieux mesurer la violence et l’aspect contre-productif des jugements a priori dont ils ont été l’objet », dans un plaidoyer qui souligne que :
- « Le drame apparaît évitable de façon évidente… après qu’il se soit produit. »
Pour l’Anas, la question à poser ne devrait pas être « Ce drame aurait-il pu être évité ? » car la prédiction n’est jamais sûre, mais « comment, et donc à quel prix, le risque d’un tel drame aurait-il pu être ...
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