Dans la région bretonne, tout est parti d’un vote défavorable du conseil régional sur le projet régional de santé (PRS) 2023-2028, et d’un avis défavorable de la conférence régionale de santé et de l’autonomie (CRSA), dont l’un des huit collèges représente les collectivités territoriales. Ce n’était pas le fond du projet que les élus régionaux et les acteurs locaux de la démocratie en santé souhaitaient sanctionner, mais son silence sur la méthode pour le mettre en œuvre.
« Le PRS avait été longuement concerté et, au moment d’émettre un avis, les membres de la CRSA ont dit : “On a besoin d’une base pour mettre le PRS en pratique” » explique Roland Ollivier, président de la CRSA Bretagne, qui précise : « On savait que l’Ile-de-France travaillait déjà sur un contrat de méthode, on s’est dit ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés
Régions