La baisse du nombre d’internes en médecine qui travailleront à partir de novembre a fait l’effet d’une bombe alors que l’offre de soins traverse une grave crise dans tous les secteurs du système de santé et « quasiment » toutes les zones géographiques, faute de médecins en nombre suffisant. Les internes, ces étudiants en médecine entre la septième et la onzième année des études médicales, travaillent à plein temps sur différents terrains de stage dont ils peuvent choisir la spécialité et le lieu en fonction de leur classement en fin de sixième année.
La réforme des examens d’évaluation de leurs compétences à l’origine de ce classement, qui introduit depuis cette année une note éliminatoire à l’écrit et un nouvel oral, a conduit une partie des ...
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