Nicole Belloubet a « bien conscience d’un contexte inédit, qui entraîne une forme d’incertitude ». Elle rappelle qu’elle est une « ministre démissionnaire qui expédie les affaires courantes ». Lesquelles affaires courantes ne sont toutefois pour elle « ni un temps suspendu pour l’école, ni un temps mort, mais un temps d’action, parce que l’école n’attend pas ». C’est dans cet état d’esprit que la ministre de l’Education nationale en sursis, qui déclare avoir « envie de continuer », a décliné, mardi 27 août, les nombreux dossiers de la rentrée 2024/2025, lors de la conférence de presse rituelle précédant le retour en classe à partir de lundi 2 septembre de près de 12,3 millions d’élèves, dont plus de la moitié dans le premier degré. Et ce, en se situant « dans la continuité des réformes ...
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