Alors que Lomme est restée à la semaine de 4,5 jours à l’école instaurée par la réforme des rythmes scolaires de 2013, comment vivez-vous la suppression au 1er septembre 2024 du fonds de soutien au développement des activités périscolaires (FSDAP) prévue par le prochain projet de loi finances (1) ?
D’abord, je préfère parler de cinq jours éducatifs, avec cinq matinées, un moment d’apprentissage privilégié pour les enfants de cet âge, comme l’explique la chronobiologiste Claire Leconte, avec qui Lomme a travaillé dès 2010 pour expérimenter ces rythmes scolaires de 2011 à 2013. En permettant aux communes, et ce, dès son arrivée en 2017, de déroger à la loi de 2013, l’ex-ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer avait porté un coup de canif à cette réforme. Cette fois, le ...
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Cet article fait partie du Dossier
Le projet éducatif de territoire, outil fondamental de la politique éducative locale
Sommaire du dossier
- La seconde jeunesse des projets éducatifs locaux
- Les projets éducatifs locaux pour renforcer la continuité éducative
- Projets éducatifs locaux : des partenariats au service des ambitions territoriales
- Projet éducatif local : tout part d’une concertation réussie
- « La priorité est de travailler avec les acteurs éducatifs, le contenu évoluera »
- Olivier Caremelle : « La guillotine contre la réforme des rythmes scolaires »
- Les accueils de loisirs au rythme des Jeux olympiques et paralympiques
Thèmes abordés