Dès le printemps 2022, les régions et les entreprises de transport avaient sonné l’alerte : 7 000 à 8 000 postes de conducteurs scolaires risquaient de ne pas être pourvus pour la rentrée, du fait des départs à la retraite des salariés, d’une désaffection pour le métier liée à la faible rémunération, aux contrats à temps partiel et aux horaires découpés. Fin août 2022 le gouvernement avait annoncé un plan d’action pour le transport scolaire, comportant des mesures de simplification administrative pour l’obtention du permis de conduire et l’exercice de cette activité, des mesures de formation, l’abaissement de 21 à 18 ans de l’âge minimum pour passer le permis D…
- Mobilisation contre la pénurie de conducteurs de bus ...
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