« Vous ne voulez plus vivre, vous voulez vous suicider, nous allons vous y aider, voilà la solution. La personne est malade dans sa tête, on tue. Dans quelle société sommes-nous ? », Gabin, 97 ans. « Le plus important est que le gouvernement puisse embaucher suffisamment de personnel pour accompagner correctement les personnes en fin de vie », Odile, 84 ans. « Je souhaite que ma fin de vie soit paisible, sans souffrance, m’éteindre comme une bougie ou en dormant », Sophie, 72 ans.
Ce sont quelques-uns des témoignage du « Recueil de paroles de vieilles et vieux citoyens » qui s’expriment sur la fin de vie – parfois la leur –, à la demande des Petits frères des pauvres. Chaque année, ses équipes sont confrontées à environ 1 000 décès. Alors que les travaux de la convention citoyenne sur la ...
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