La réforme était voulue par Adrien Taquet, secrétaire d’Etat à l’enfance et aux familles, qui confiait une mission sur le sujet en avril 2019 à Monique Limon, députée (LREM) de l’Isère et à Corinne Imbert, sénatrice (LR) de Charente-Maritime. C’est la première qui a déposé une proposition de loi en juin 2020, votée définitivement le 8 février.
Le risque de décevoir les candidats à l’adoption
Une de ses principales dispositions – l’ouverture de l’adoption aux couples concubins ou pacsisés – vise à prendre en compte les évolutions sociétales et l’apparition de l’homoparentalité. Cependant, elle laisse dubitative les acteurs. « Je n’ai rien contre les nouvelles parentalités. Mais cette mesure donnera l’illusion à de nombreuses familles et personnes qu’elles pourront adopter des enfants ...
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