Cela fait des mois, et pour certains des années, qu’ils alertent des carences dans l’accompagnement des publics, liées à la détérioration de leurs conditions de travail : sous-effectif structurel, isolement des agents, manque de places d’accueil en protection de l’enfance, absence de dialogue avec la direction… Comme dans d’autres départements où la crise sanitaire a encore aggravé une précarité endémique, les professionnels des services sociaux de l’Hérault sont « à bout de souffle ».
Le 10 juin, une centaine d’agents de la direction des solidarités se sont rassemblés devant l’hôtel du département de l’Hérault (5 450 agents) à Montpellier, et devant une annexe à Béziers, avec le soutien de la CGT et de FO. Depuis la fin mai, la mobilisation grandit, sous la forme de rassemblements ...
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