Toute réflexion sur les projets de rénovation urbaine, qui s’inscrivent par définition sur le temps long, doit s’ancrer, selon Yorghos Remvikos, professeur en santé environnementale à l’université de Versailles Saint-Quentin, dans une question, posée aux habitants concernés de près ou de loin : « quelles sont les conditions pour qu’on se sente bien dans un quartier ? ». La santé étant pour lui un moyen pour y parvenir et non un but en soi. Les dispositifs de participation existent mais « ils restent souvent décevants, pour les habitants mais aussi les techniciens et les élus », a remarqué Clémentine Motard, chargé de projets à la FTS.
La poussière, les gravats, la toux
Djangou Traoré, habitante mobilisée dans le projet de renouvellement urbain du quartier du Franc-Moisin ...
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