On aurait pu craindre une insuffisance de candidatures face à l’énorme défi à relever. Attribuer directement un logement à une personne sans-domicile, souffrant parfois d’addictions ou de troubles psychiques, c’est un peu révolutionnaire. L’initiative génère des surcoûts au départ et demande un accompagnement médico-social renforcé ; mais elle peut, à terme, réduire des dépenses substantielles par ailleurs, comme le montrent différentes expériences menées aux Etats-Unis et en Europe.
Les collectivités très volontaires
Or, l’appel à manifestation d’intérêt lancé par le gouvernement en novembre 2017 a suscité « une forte mobilisation des collectivités », s’est félicité Jacques Mézard le 30 mars à Montpellier. 31 territoires ont présenté leur ...
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