L’Anah a voté, le 22 septembre la réorientation de son régime d’aides à destination du parc privé, « où l’on trouve davantage de personnes pauvres que dans le parc social », a souligné Dominique Braye, son président, à l’issue du conseil d’administration.
La priorité est donnée à l’habitat indigne et très dégradé. Les propriétaires bailleurs ne pourront par exemple percevoir des aides que si leur logement présente un niveau significatif de dégradation, et le taux de subvention devient unique et ne prend plus en compte le zonage au niveau national. L’aide fiscale est dans le même temps privilégiée pour les travaux « moins lourds ». « L’adaptation se fera au niveau local », précise Isabelle Rougier, directrice générale de l’Anah. « Sur les petits travaux, la contrepartie sociale n’est pas ...
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