Ce congrès marque une étape importante pour développer notre restauration dans un souci de développement durable, résume Christophe Hébert, président de l’Association nationale des directeurs de restauration municipale (ANDRM). Nous ne sommes plus dans le discours, mais dans la pratique. Ce qui nous a permis de pointer les difficultés posées aux gestionnaires dans la mise en pratique de cette nouvelle restauration.
Etaient en effet au menu des 300 congressistes, le développement du bio dans les restaurants scolaires, l’approvisionnement en filière courte pour limiter les transports et irriguer l’agriculture régionale, la conception d’installations en haute qualité environnementale, le goût chez les enfants…
D’où une feuille de route : nous allons d’abord œuvrer à la création de filières ...
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