Guilluy, la géographie, la guerre et la caricature
Après lui avoir accordé un long entretien début 2014, La Gazette relayait, dans sa revue de presse la semaine dernière, une critique des thèses de Christophe Guilluy. Qu’il s’agisse de querelles d’universitaires ou de désaccords émanant de cadres du Commissariat général à l’égalité des territoires (CGET, ex-Datar), le débat fait rage. Au plus grand bonheur du défenseur de la France périphérique, qui considère que “la géographie sert à faire la guerre. Une guerre de démocratie, c’est-à-dire il faut des idées et que les idées fassent discuter, fassent s’engueuler, pour qu’on avance. En France on meurt du consensus.” Point par point, Slate prend le temps de recenser les grandes idées de Christophe Guilluy ainsi que les reproches qui lui sont fait. L’on s’aperçoit qu’il y a des choses à prendre et à laisser, des deux côtés. Puisse-t-on en débattre sans tomber dans la caricature.
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