Les bénéficiaires du RMI constituent une population « hétérogène » note l’Insee dans un portrait social de la France, une étude couvrant l’année 1998 et le premier semestre 1999. L’institut distingue quatre grandes catégories de profils. La première cumule les plus grandes difficultés avec un très faible espoir de retour à l’emploi, la seconde ressemblant à la précédente, continue cependant de rechercher du travail, la troisième regroupe des allocataires davantage insérés dans l’emploi et la quatrième enfin, pour qui le RMI joue de manière temporaire, « le rôle d’une allocation d’entrée dans la vie active ».
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