Le denier rapport annuel de la Mission interministérielle de lutte contre le sectes (MILS) constate une « stagnation » de l’activité des mouvements sectaires. Il invite néanmoins les pouvoirs publics à « la plus grande prudence », en raison du « caractère protéiforme du sectarisme ». La MILS estime que « le temps n’est pas venu de relâcher la vigilance ». Il faut donc « accentuer les mesures de prévention en multipliant les réunions d’information à tous niveaux ainsi que les séances de formation au bénéfice de ceux qui, dans le milieu professionnel, peuvent un jour rencontrer une infiltration sectaire ».
La MILS donne un satisfecit aux initiatives prises par ...
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