Invités à dresser leur bilan de l’application de la réforme des rythmes scolaires, les trois syndicats ont martelé leur déception face à la réforme actuelle. En cause : le manque de moyens, l’abaissement du taux d’encadrement et les dérogations introduites dans l’accès au BAFD. Autant de facteurs qui fragilisent les animateurs, tout en mettant en péril la qualité des activités périscolaires offertes : « C’est l’animateur qu’on met en danger, en lui rajoutant plus d’enfants » souligne Ahmed Hamadi, de l’Union des Syndicats des Personnels de l’Animation, des Organisations sociales, sportives et Culturelles (USPAOC-Cgt).
Tant bien que mal, les représentants des animateurs ont défendu leur rôle dans l’éducation des enfants. Aux dires de Patrice Weisheimer, Secrétaire Général du ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Éducation et vie scolaire
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Education et Vie scolaire pendant 15 jours
J’en profite