Réuni à Lyon les 26 et 27 novembre en forum, le réseau des associations d’aide à domicile en milieu rural (ADMR) a tiré la sonnette d’alarme sur ses moyens de financement.
Alors que le secteur s’est fortement professionnalisé sous l’impulsion des pouvoirs publics, la tarification ne prend pas toujours en compte les coûts de revient des services, et cela malgré les règles fixées par la loi du 2 janvier 2002 et du décret «tarifaire» du 22 octobre 2003. L’ADMR observe notamment des écarts importants : la prise en charge horaire varie entre 16,80 et 23 euros selon les territoires.
Elle constate également que les plans d’aide personnalisé à l’autonomie ont tendance à multiplier le fractionnement des interventions à la demi heure, voir au quart ...
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